Le début d’année annonce souvent un renouveau individuel et professionnel pour chacun d’entre nous. Or l’épanouissement personnel au travail se base sur plusieurs critères. Découvrez les conditions du métier parfait pour les actifs français à travers les résultats d’une étude récente de l’OCDE.
Alors que le marché de l’emploi évolue sans arrêt en France, la quête de sens, la reconnaissance et la culture d’entreprise sont les éléments qui comptent le plus pour les salariés de 25 à 60 ans. Hommes et femmes partent à la recherche du bonheur ou plutôt du bien-être au travail, bien plus que la sécurité de leur poste. C’est ce que montre l’enquête « Comment va la vie ? » de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) réalisée fin 2017 et publiée il y a peu. Le job idéal repose en fait sur 4 critères principaux, issus d’une étude en ligne réalisée par PageGroup de novembre à décembre 2018 auprès d’actifs français.
1. Un besoin de sens
Quelles sont les valeurs et la vision d’une société sur le long terme? Cette question préoccupe de plus en plus les futurs et actuels salariés, qui invitent indirectement l’ensemble des établissements à assumer leurs responsabilités et à donner du sens au rôle de leurs employés.
2. Une société à taille humaine
Préfère-t-on exercer au sein d’une TPE, d’une PME (moins de 250 salariés), d’un établissement de taille intermédiaire ou encore d’un grand groupe ? Contre toute attente, ce sont les petites structures qui peuvent offrir le job idéal et la reconnaissance associée, selon 43% des Français.
3. Une bonne ambiance nécessaire pour progresser
Pour s’épanouir, d’excellentes relations avec ses collègues et avec son manager semblent indispensables. Le respect, l’écoute et le leadership ont une importance primordiale, bien avant la rémunération. La qualité de vie au travail est essentielle pour l’employé comme pour les performances de l’entreprise.
4. Une vie privée respectée
Enfin, les Français veulent préserver la qualité de leur vie privée : horaires de travail flexibles, temps de transport limité, recours possible au télétravail… Rien d’étonnant finalement !
Sources : OCDE / Les Echos / PageGroup (décembre 2018 – janvier 2019)